Spécial Qatar 2022 : Les sélections à suivre
- Le Canari
- 19 nov. 2022
- 10 min de lecture
En novembre a lieu la très controversée coupe du monde de football 2022. Étant donné les nombreuses questions entourant le tournoi, le Canari a décidé de vous plonger au cœur de la compétition. Vous allez pouvoir (re)découvrir toutes les problématiques auréolant son organisation et bien sûr ne rien rater des résultats sportifs. A une semaine du match d’ouverture entre le Qatar et l’Equateur, nous vous faisons découvrir quelques équipes à suivre.

Portugal, l’envie d’écrire l’histoire…
Devancé dans sa poule par l’Espagne lors de la Ligue des nations, le Portugal devra effacer ses doutes dès le début de la Coupe du monde, face à l’équipe du Ghana. Pour tenter d'atteindre la finale pour la première fois de son histoire, le sélectionneur du Portugal, Fernando Santos, a retenu 26 joueurs pour cette édition 2022.
En effet, membre du groupe H de la Coupe du monde au Qatar, le Portugal sera opposé en plus du Ghana, à l’Uruguay et à la Corée du Sud. Un groupe dans lequel la sélection emmenée par le quintuple ballon d’or Cristiano Ronaldo semble favorite. L’objectif du Portugal sera avant tout de dépasser l’obstacle des demi-finales, infranchissable en 1966 et 2006, et surtout de faire oublier les 3 dernières éditions médiocres.
Du côté des joueurs sélectionnés, Diogo Jota, l’attaquant de Liverpool, blessé au mollet droit, et l’ailier de Wolverhampton Pedro Neto, touché à la cheville, sont tous deux forfaits.
Le défenseur central du FC Porto Pepe, 39 ans, fait quant à lui partie des joueurs sélectionnés et disputera sa quatrième Coupe du monde. Fernando Santos a également décidé sur des joueurs en forme à l’instar de Ruben Dias (Manchester city), Vitinha (PSG), ou encore Joao Cancelo (Manchester city).

L’un des sujets brûlants du football concerne la superstar portugaise Cristiano Ronaldo qui vit une situation difficile avec son club de Manchester United. L’attaquant de 37 ans qui compte 191 sélections sera le leader d’attaque de cette sélection. Il disputera sa cinquième édition, probablement sa dernière.
Une édition marquée par un engouement impressionnant à travers les réseaux sociaux, ou la possibilité de voir s’affronter les deux plus grands ballons d’or de l’histoire affolent le monde du football et le monde entier. En effet, de l'autre côté de l’Atlantique, le septuple ballon d’or Leo Messi va lui aussi tenter de remporter avec l’Albiceleste, la seule chose qui manque à son palmarès. Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo ? Qui est le plus grand joueur de l’histoire ? Cette Coupe du monde sera peut-être l’occasion de répondre à cette question et de mettre fin à un débat récurrent dans le monde du football.
La liste du Portugal pour la Coupe du Monde 2022 :
Gardiens : Diogo Costa (FC Porto), José Sá (Wolverhampton Wanderers FC), Rui Patrício (AS Roma).
Défenseurs : Diogo Dalot (Manchester United), João Cancelo (Manchester City), Danilo Pereira (PSG), Pepe (FC Porto), Rúben Dias (Manchester City), António Silva (SL Benfica), Nuno Mendes (PSG), Raphaël Guerreiro (Borussia Dortmund).
Milieux : João Palhinha (Fulham FC), Rúben Neves (Wolverhampton Wanderers FC), Bernardo Silva (Manchester City), Bruno Fernandes (Manchester United), João Mário (SL Benfica), Matheus Nunes (Wolverhampton Wanderers FC), Otávio Monteiro (FC Porto), Vitinha (PSG), William Carvalho (Real Betis).
Attaquants : André Silva (RB Leipzig), Cristiano Ronaldo (Manchester United), Gonçalo Ramos (SL Benfica), João Félix (Atlético Madrid), Rafael Leão (AC Milan), Ricardo Horta (SC Braga).
L’Argentine, Messi pour enfin rejoindre Maradona
L’équipe d’Argentine, 3ème du classement FIFA, est considérée comme l’une des favorites de la compétition.

Elle a déjà remporté 2 fois la compétition, la dernière en date étant celle remportée par l’équipe de Diego Maradona en 1986. Lionel Messi et ses coéquipiers vont donc tenter de remporter ce trophée qui leur échappe depuis 36 ans, pour ce qui apparaît comme la dernière coupe du monde de l’attaquant parisien.
L’Albiceleste est membre du groupe C, avec la Pologne, le Mexique et l’Arabie Saoudite. Elle débutera la compétition le 22 novembre face à l’Arabie Saoudite, qui apparaît comme l’adversaire le plus abordable de ce groupe. Elle affrontera ensuite le Mexique puis finira cette phase de poules en défiant la Pologne de Robert Lewandowski. L’Argentine devrait se qualifier facilement, elle est donnée comme grande favorite de son groupe.
L’équipe, entraînée par Lionel Scaloni, a vécu des temps difficiles ces dernières années, avec notamment l’élimination en huitièmes de finale par la France lors de la dernière coupe du monde. Aujourd’hui, elle est de retour au sommet avec son premier titre depuis 28 ans, en 2021. En effet, l’Argentine a battu le Brésil 1-0 en finale de la Copa America en 2021, autre prétendant à la victoire finale lors de cette coupe du monde.
Elle est également invaincue depuis 2019, pour un total de 35 matchs sans défaite. Elle a aussi remporté la finalissima en juin 2022, opposant le vainqueur de la Copa America à celui du championnat d’Europe. Elle était alors opposée à l’Italie, nation victorieuse lors de l'euro 2022, qu’elle a battu 3-0.
Lionel Scaloni a d’ailleurs prolongé son contrat jusqu'en juin 2026, preuve de la confiance dont il jouit à la fédération argentine.

La forme de Lionel Messi est également un facteur déterminant pouvant mener l’Argentine à la victoire finale. De retour au plus haut niveau après sa première année décevante au Paris-Saint-Germain, Lionel Messi enchaîne les bonnes performances. Déjà auteur de 12 buts et 13 passes décisives toutes compétitions confondues cette saison, le capitaine de l’Albiceleste devrait une nouvelle fois être un élément décisif de l’équipe de Lionel Scaloni.
Cette coupe du monde pourrait être la dernière pour Lionel Messi, âgé de 35 ans, qui devrait disputer la 5ème coupe du monde de sa carrière. C’est l’un des seuls titres majeurs manquant à sa collection, gagner ce trophée serait pour lui une véritable consécration.
On peut donc penser que le joueur parisien va tout faire pour tenter de remporter cette coupe du monde.
La Pulga sera accompagné d’une équipe solide, avec Angel Di Maria, Lautaro Martinez ou encore le gardien Cristian Romero. L’équipe apparaît comme complète avec une attaque très solide mais une défense un peu plus faible.

L’équipe nationale d’Argentine semble donc pouvoir prétendre à la victoire finale dans cette compétition si particulière qui se tiendra en milieu de saison.
Le sélectionneur national espagnol, Luis Enrique, voit « l’Argentine au-dessus » des autres équipes, ce qui prouve que l’Albiceleste est vue comme un adversaire de taille au sein des autres nations.
Cependant Lionel Messi invite les supporters argentins à garder leur calme et sait bien qu’il n’est pas si facile de remporter la coupe du monde :
« Nous allons bien pour le moment, les gens sont enthousiastes. Les supporters pensent que nous reviendrons avec la Coupe, mais ce n’est pas si facile ».
Les sélectionnés de l’Argentine :
Gardiens de but : Emiliano Martínez (Aston Villa), Geronimo Rulli (Villarreal), Franco Armani (River Plate).
Défenseurs : Nahuel Molina (Atletico de Madrid), Gonzalo Montiel (FC Séville), Nicolás Tagliafico (Lyon), Marcos Acuna (FC Séville), German Pezzella (Real Betis), Nicolas Otamendi (Benfica), Lisandro Martínez (Manchester United), Cristian Romero (Tottenham), Juan Foyth (Villarreal).
Milieux de terrain : Guido Rodríguez (Betis Séville), Leandro Paredes (Juve), Exequiel Palacios (Bayer Leverkusen), Alexis Mac Allister (Brighton), Papu Gómez (Séville FC), Rodrigo De Paul (Atlético de Madrid), Enzo Fernandez (SL Benfica).
Attaquants : Lionel Messi (PSG), Lautaro Martínez (Inter Milan), Julian Alvarez (Manchester City), Paulo Dybala (AS Rome), Nicolas Gonzalez (Fiorentina), Joaquín Correa (Inter Milan), Ángel Di María (Juventus).
Le Japon, inattendue surprise venue d’Asie ?
Les « Samurai Blue » avancent calmement mais déterminés à l’approche de la coupe du monde. Positionné dans le groupe E au côté de l’Espagne, l’Allemagne et le Costa Rica. Vu d’Europe, ils apparaissent destinés à quitter la compétition dès la phase de groupe, les deux places qualificatives étant destinées aux géants européens. Cette équipe a pourtant de sérieux arguments à faire valoir.

Des résultats de plus en plus solides
Depuis le 1/8ème de finale de la coupe du monde 2018 et la nomination du sélectionneur Hajime Moriyasu, le Japon affiche un très bon bilan 37 victoires et 13 défaites en 60 matchs, passant de la 50ème à la 24ème place au classement mondial. Malgré l’absence de victoire finale dans une compétition (finaliste coupe d’Asie et demi-finaliste aux jeux olympiques).
Signe de la solidité des nippons, leur bilan depuis 1 an (8 victoires, 2 nuls, 1 défaite), battu une seule fois par le Brésil sur la plus petite des marges (0-1). Avec cette régularité, les Japonais sont prêts à jouer les troubles fêtes dans le Groupe E, le sélectionneur a même fixé comme objectif d’atteindre les quarts de finale, une performance encore jamais réalisée en coupe du monde pour le pays du soleil levant.
Un effectif s’imposant en Europe
On comprend ces grandes ambitions quand on voit les joueurs sélectionneurs, ils sont en nombre à s’être imposés dans leur équipe en Europe. Au total sur 26 sélectionnés, 20 joueurs y évoluent actuellement. On peut ajouter à cela les deux tauliers de la défense Yuto Nagatomo et Hiroki Sakai qui ont une forte expérience du haut niveau Européen.
Les Blue Samurai présentent un effectif assez jeune avec beaucoup de potentiel, notamment avec leur défenseur central Takehiro Tomiyasu (23 ans), un élément clé du début de saison réussi des Gunners d’Arsenal. Ou leur deux joueurs stars en attaque Takefusa Kubo (21 ans) et Daishi Kamada (24 ans), l’un considéré comme le « Messi » japonais et l’autre qui s’est imposé comme un des leaders de l’Eintracht Francfort lauréat de l’Europa League la saison dernière (5 buts).
Pour canaliser cette jeunesse, inhabitué à participer à une telle compétition, le Japon peut compter sur ces anciens Eiji Kawashima et Yuto Nagatomo qui vont tous deux participer à leur 4ème coupe du monde. Il ne faudra pas oublier au milieu de terrain, la star de l’équipe Takumi Minamino. En difficulté depuis son transfert de Liverpool à Monaco, le numéro 10 se métamorphose en sélection, il a marqué 7 matchs d'affilée lors des qualifications pour le mondial.
Cet effectif est solide et veut prendre son destin en main.
"C'est extrêmement bien d'affronter l'Allemagne, l'un des favoris pour le titre, pour notre premier match afin de prouver nos capacités, [...] C'est la meilleure situation possible." Yuto Nagatomo.
L’Allemagne et l’Espagne pas vraiment sereines
Et les Japonais ont raison d’y croire quand on voit la santé des deux géants européens.
D’un côté, l’Espagne malgré sa bonne performance au dernier Euro (demi-finaliste), la Roja reste pleines d’incertitudes dans son jeu et dans la construction de son équipe. Expliqué par sa jeunesse et le manque d’un facteur X comme peuvent avoir les autres favoris à la victoire finale, comme Kylian Mbappé, Lionel Messi ou Harry Kane. Cela rend cette équipe difficilement lisible, capable du meilleur comme du pire.
Du côté de la Mannschaft, les résultats ne sont pas les plus probants. Habitué à gagner, la sélection allemande menée par Hansi Flick est dans une série de 5 nuls et 1 défaite sur les 7 derniers matchs. Bien sûr, il ne faut pas enterrer cette équipe toujours parmi les favoris à l’approche d’une coupe du monde.
Surtout quand on regarde dans le détail les adversaires affrontés dernièrement, les Pays-Bas, l’Angleterre, l’Italie et la Hongrie. En somme, mis à part la Hongrie, les Allemands ont affronté uniquement le gratin européen. Mais la dynamique de résultats reste plutôt négative pour la Nationalmannschaft.
Tous ces éléments rendent ce groupe extrêmement excitant et indécis. Raison de plus pour suivre cette sélection japonaise qui pourrait être la surprise de ce mondial.
Le groupe sélectionné par Hajime Moriyasu :
Gardiens : Shuichi Gonda (Shimizu S-Pulse/JPN), Eiji Kawashima (Strasbourg/FRA), Daniel Schmidt (Sint-Truiden/BEL).
Défenseurs : Yuto Nagatomo (FC Tokyo/JPN), Maya Yoshida (Schalke/GER), Takehiro Tomiyasu (Arsenal/ENG), Hiroki Sakai (Urawa Reds/JPN), Yuta Nakayama (Huddersfield Town/ENG), Shogo Taniguchi (Kawasaki Frontale/JPN), Ko Itakura (Borussia Monchengladbach/GER), Miki Yamane (Kawasaki Frontale/JPN), Hiroki Ito (Stuttgart/GER).
Milieux de terrain : Wataru Endo (Stuttgart/GER), Hidemasa Morita (Sporting/POR), Ao Tanaka (Fortuna Düsseldorf/GER), Daichi Kamada (Eintracht Francfort/GER), Junya Ito (Reims/FRA), Kaoru Mitoma (Brighton/ENG), Takumi Minamino (Monaco/FRA), Yuki Soma (Nagoya Grampus/JPN), Gaku Shibasaki (Leganes/ESP), Takefusa Kubo (Real Sociedad/ESP), Ritsu Doan (Fribourg/GER).
Attaquants : Daizen Maeda (Celtic/SCO), Takuma Asano (Bochum/GER), Ayase Ueda (Cercle Bruges/BEL).
Les Danish dynamites prêt à électriser le mondial ?
Des Fjords aux collines verdoyantes, de Harald à la dent bleue à Margrethe II, du Château de Rosenborg à la Petite Sirène de Copenhague, le Danemark a toujours eu ce côté versatile qui se reflète dans leur football.
Lors des éliminatoires, les Rouges et Blancs ont survolé leur groupe avec 9 victoires en 10 matchs et 30 buts marqués pour 3 encaissés. Ils ont ainsi facilement validé leur ticket pour la Coupe du Monde 2022.
Forts de leur surprenante performance à l'Euro 2020, les hommes de Kasper Hjulmand sont même passés à un petit point des phases finales de Ligue des Nations, s'offrant le tenant du titre et champion du monde Français à domicile comme à l'extérieur.
Si le Danemark a surpris, il se doit maintenant de confirmer qu'il n'est plus une petite sélection européenne mais une vraie équipe capable de matchs de haut niveau à forte intensité. L'aventure Qatarie est l'occasion parfaite de montrer leurs atouts en réalisant une nouvelle épopée.

Le groupe Danois :
Gardiens : Kasper Schmeichel (Nice, FRA), Oliver Christensen (Hertha Berlin, ALL), Frederik Ronnow (Union Berlin, ALL).
Défenseurs : Daniel Wass (Brøndby), Rasmus Nissen Kristensen (Leeds United, ANG), Jens Stryger Larsen (Trabzonspor, TUR), Joakim Maehle (Atalanta Bergame, ITA), Andreas Christensen (FC Barcelone, ESP), Simon Kjaer (Milan AC, ITA), Joachim Andersen (Crystal Palace, ANG), Victor Nelsson (Galatasaray, TUR), Alexander Bah (Benfica Alexander Bah, POR).
Milieux : Pierre-Emile Hojbjerg (Tottenham, ANG), Thomas Delaney (FC Séville, ESP), Christian Eriksen (Manchester United, ANG) et Mathias Jensen (Brentford, ANG), Robert Skov (Hoffenheim, GER), Christian Norgaard (Brentford, ENG).
Attaquants : Mikkel Damsgaard (Brentford, ANG), Andreas Skov Olsen (Club Bruges, BEL), Jesper Lindstrom (Eintracht Francfort, ALL), Martin Braithwaite (Espanyol Barcelone, ESP), Kasper Dolberg (FC Séville, ESP), Jonas Wind (Wolfsburg, ALL), Andreas Cornelius (FC Copenhague), Yussuf Poulsen (Leipzig, ALL).
L’équipe :

Habitué à un jeu rapide, vertical et basé sur la largeur afin d'étirer le bloc adverse, le Danemark ne devrait pas faire entorse à la règle lors de la Coupe du Monde qui arrive.
Ce 11 est un savant mélange entre l'expérience des anciens (Schmeichel, Kjaer, Wass) et la fougue de la jeunesse (Maehle, Olsen, Damsgaard). Nous pouvons à présent l'étudier ligne par ligne.
Le gardien Kasper Schmeichel, arrivé cet été à Nice, ne devrait pas laisser sa place, celui qui a fait les beaux jours de Leicester devrait (bien) garder les cages danoises lors de ce qui s'apparente à sa dernière Coupe du Monde, lui qui vient de fêter ses 36 ans.
La charnière à 3 est extrêmement complémentaire, le roc Vestergaard (1m99 pour 98 kilos) va remplir son rôle de stopper à merveille en imposant son physique et sa rugosité, tout en catalysant les menaces aériennes. Kjaer (Capitaine) et Christensen, eux, vont plutôt faire parler leur science du placement pour intercepter et être les rampes de lancement des attaques danoises grâce à leurs relances soyeuses.
En phase offensive, les pistons vont monter pour délivrer des centres millimétrés sur la tête de leurs attaquants et notamment de leur numéro 9 Yussuf Poulsen qui, du haut de son mètre 92 ne se fera pas prier pour crucifier le gardien adverse.
Le milieu danois est relativement défensif est travailleur même s'il ne faut pas sous-estimer la qualité de projection de Delaney et d'Hojbjerg, ils vont chercher à gratter les ballons hauts et gêner la relance pour ensuite aller généralement chercher les pistons ou les ailiers.
Le trident offensif Danois est constitué de deux artistes, deux électrons libres (Damsgaard et Olsen) et d'un vrai 9, un finisseur (Poulsen) . Les deux feux follets vont se lancer dans des séries de dribbles chaloupés pour déstabiliser la défense et finir par une frappe ou une passe bien ajusté à l'un de leur compère d'attaque.
Le Groupe du Danemark est composé de la France, la Tunisie et l’Australie. Dans ce remake du groupe de 2018, les Rouges et Blancs essaieront de faire aussi bien voir même mieux qu’il y a 4 ans où ils avaient obtenu la 2e place du groupe, devancés par les futurs vainqueurs. Les Danois devraient selon moi facilement venir à bout des Tunisiens lors de leur premier match, puis je les vois s’incliner face aux Bleus et finir les phases de groupe avec une victoire face à l’Australie, leur offrant la qualification pour les huitièmes de finale.
Un pronostic ?
Si je devais me risquer à un pronostic, je vois bien les Danois remporter leur 1/8e et se faire sortir par l’un des favoris en quart mais comme on l’a vu lors de l’euro 2020 puis en Ligue des Nations, il ne faut jamais enterrer Simon Kjaer et les siens trop vite.



Commentaires